EARLY CÔTÉ HISTORY
EARLY CÔTÉ (COSTÉ) HISTORY
Notre ancêtre Jean Costé, Cotté, Cottez ou Côté était certainement l'un des premiers pionniers à arriver au Canada. Ses origines, tout en n'étant pas prouvées, nous laissent avec plusieurs théories. On croit qu'il est né au Perche, en France. Il y a ceux qui attachent son parent à celui de Abraham Côté et Françoise Geneviève Losel, mais une documentation suffisante ne le confirme pas. |
Our ancestor Jean Costé, Cotté, Cottez ou Côté was certainly one of the first pioneers to arrive in Canada. His origins while not proven leave us with several theories. It is believed he was born in Perche, France. There are those who attach his parentage to that of Abraham Côté and Françoise Genevieve Losel but sufficient documentation do not confirm that. |
Il y a plusieurs théories dont je mentionne brièvement, mais pour ma famille, j'ai choisi la première. Le nom varie également beaucoup de Costé, Cotté, Cottez ou Côté et peut-être d'autres. Bien que cela soit mentionné, j'utiliserai le nom Côté pour simplifier mes recherches. |
There are several theories of which I mention briefly but for my family I have chosen the first. The name also varies greatly from Costé, Cotté, Cottez ou Côté and possibly others. While mention of this is also made, I will use the Côté name to simplify my research. |
Deciphering the Research
décryptage de la recherche
Les seigneuries étaient comment la terre était divisée en Nouvelle-France. Le Dr Robert Giffard originaire de Mortagne était Seigneur de la Seigneurie pour Beauport. Ces Lords ont fourni un passage aux locataires «les habitants» qui ont été obligés de travailler pour le Seigneur pendant une période désignée afin de payer son passage sur le nouveau terrain. À l'époque où Jean Côté arrivait, une période de cinq ans était courante, auquel cas le travailleur serait récompensé d'une vache et d'un terrain pour son travail. La plus grande partie d'une seigneurie se composait des terres concédées aux censitaires (ou tentantes), appelées censives. Le seigneur occupait un domaine seigneurial qui abritait le manoir du seigneur. Les terres de la fabrique (maison de l'église) abritaient l'église, le presbytère (ou la résidence du prêtre) et le cimetière. Un terrain, connu sous le nom de commune, a été mis de côté comme pâturage pour le bétail des censitaires. Les moulins à farine, que le seigneur prévoyait pour les censitaires, étaient alimentés par des roues à eau et devaient être situés le long des cours d'eau. Le verre de fenêtre n'était pas disponible jusqu'à ce qu'un processus ait été développé en France en 1688. Les premières habitations n'avaient pas de fenêtres, et la construction d'idées de l'ancien pays n'aurait eu que des ouvertures couvertes d'un papier huilé et translucide qui pourrait être fermé en hiver. Si vous étudiez les registres de l'église dans la municipalité de Lotbinière au Québec ou recherchez des dossiers militaires, des dossiers de marine français et d'autres documents à partir des années 1600, vous augmenterez immédiatement votre connaissance du temps. J'ai tout tenté d'assurer l'exactitude, mais il y a certainement des erreurs et des omissions. N'hésitez pas à me contacter si vous avez quelque chose à ajouter au site. Je suis ouvert à améliorer pour tout le monde. |
Seigneuries were how the land was divided in New France. Dr. Robert Giffard originally from Mortagne was Lord of the Seigneury for Beauport. These Lords provided passage to would be tenants "les habitants" who were obligated to work for the Lord for a designated period of time in order to pay his passage to the new land. At the time Jean Côté arrived a period of five years was common at which point the worker would be rewarded with a cow and a piece of land for his labour. The largest part of a seigneurie consisted of the lands conceded to censitaires (or tentants), called censives. The seigneur occupied a seigneurial domaine, which housed the seigneur's manor. The terres de la fabrique (church land) was home to the church, rectory (or priest's residence), and cemetery. One plot of land, known as the commune, was set aside as pasture for censitaires' livestock. Flour mills, which the seigneur provided for the censitaires to use, were powered by water wheels and had to be located along watercourses. Window glass was not available until a process was developed in France in 1688. Early abodes had no windows, and building ideas from the old country would have only had openings covered with an oiled, translucent paper that could be shuttered in the winter. If you study church records in the Lotbiniere municipality in Québec or look up military records, French naval records, and other documents from the 1600s, you'll immediately expand your knowledge of the time. I have made every attempt to ensure accuracy, but there are certainly errors and omissions. Feel free to contact me if you have anything to add to the site. I am open to making it better for everyone. |
OTHER CÔTÉ THEORIES
Il y a aussi une chance que Côté vienne de la région de Dieppe. Des informations suggèrent que des homonymes de Costé ont été impliqués dans les jonques de pêche vers les Grands Bancs. L'origine paysanne de Jean Côté, le statut matrimonial au moment de son départ de la France et l'absence apparente de service militaire donnent lieu à une autre spéculation plus sinistre: qu'il était sur la lam. Je crois qu'il serait faux de réduire cette possibilité, et cela crée encore une autre ruse fascinante dans le mystère derrière cet homme intrigant dont les gènes sont maintenant remplis par des dizaines de milliers d'Américains du Nord. |
There is also a chance that Côté came from the Dieppe area. There is information to suggest Costé namesakes were involved in the fishing junkets to the Grand Banks.
Jean Côté's peasant background, marital status at the time of his departure from France, and apparent absence of military service certainly gives rise to another more sinister speculation: that he was on the lam. I believe it would be wrong to discount this possibility, and it creates yet another fascinating wrinkle in the mystery behind this intriguing man whose genes are now replete in tens of thousands of North Americans. |